Speakers
– Tarik SENHAJI / Directeur Général, Bourse de Casablanca
– Khaled AL-ABOODI / Conseiller du Président, BADEA
– Mahmoud MOHIELDIN / Envoyé spécial des Nations unies pour le financement du Programme Sustainable Development Agenda 2030, Advisory Board Chair de GFANZ Africa, Advisory Board Chair de l’Africa Capital Hub., UNFCCC
– Serge EKUE / Président, BOAD
– HE Professor Dr. Hala ELSAID / Conseiller économique du Président, République arabe d’Égypte
Expert
– Mik KABEYA / VP, Analyste Principal, Banques Africaines, Moody’s Ratings
Modérateur
– Aurélie M’BIDA / Rédactrice en Chef Business et Économie, Jeune Afrique
Pour mieux défendre leurs intérêts et financer eux-mêmes leur développement, plusieurs pays africains ont créé l’Africa Club en début d’année, initié par l’Union Africaine et regroupant plusieurs institutions financières multilatérales. Cumulant 65 milliards $ de capital, c’est la plus grande concentration de financement africain, proposant des prêts sans conditionnalités. En même temps, ce montant ne représentant que 6% des besoins annuels de l’Afrique, les États doivent également mobiliser davantage de ressources domestiques?: recettes fiscales, réserves de change, lutte contre la corruption, etc. Mais comment faire face aux pressions des institutions occidentales qui contestent le statut de créancier privilégié des membres du Club, permettant ainsi des prêts plus attractifs ?
Points clés :
Alors que les tentatives de réforme de l’architecture financière internationale courent depuis 50 ans, de quels nouveaux atouts l’Afrique dispose t’elle pour défendre ses intérêts ?
Fiscalité, épargne institutionnelle, lutte contre les flux financiers illicites : comment mobiliser davantage de ressources ?
Gouvernance : quelles stratégies pour favoriser les synergies entre les institutions de l’Africa Club ?
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