Speakers
– Nathalie KOUASSI AKON / Directrice, Genre et Inclusion économique, IFC
– Ilham LAHLOU / Directrice de l’assurance dommages – assurance des particuliers, SanlamAllianz
– Gwendoline ABUNAW / Directrice Générale, Ecobank Cameroun
– Hadiza AMBURSA / Directrice exécutive, Banque commerciale, Access Bank
Expert
– Zineb SQALLI / Directrice Générale et Associée, BCG
Modérateur
– Anjani TRIVEDI / Correspondant mondial des affaires, The Economist
Source de capitaux importants et instruments efficaces en faveur de l’autonomisation des femmes entrepreneurs, les Gender Bonds et les applications mobiles pourraient ajouter 2,5 milliards $ au PIB de l’Afrique d’ici 2025. Cependant, ce nouvel élan dans l’inclusion des femmes et la
numérisation des outils pour les MPME dirigées par des femmes se heurtent au manque de culture numérique et aux problèmes d’accès à internet et aux services financiers, dans le continent avec le taux d’émission de Gender Bonds le plus bas au monde. En 2022, la Rand Merchant Bank d’Afrique du Sud a été la première à émettre une obligation de genre d’une valeur de 58 millions $ sur le continent. Cependant, cet outil de financement est perçu comme complexe en raison de l’absence de référence standard sur les processus et d’interrogations sur les rendements pour les investisseurs. Comment les institutions financières peuvent-elles concevoir des outils de
financement innovants, tels que les Gender Bonds et la numérisation des garanties, afin de combler le fossé entre les hommes et les femmes en Afrique ?
Points clés :
– Inclusion financière : A quels défis les institutions financières sont-elles confrontées dans la mise ne place de produits numériques ou mobiles pour les femmes ?
– Comment les obligations de genre peuvent-elles attirer les investisseurs ?
– Quelles leçons l’Afrique pourrait tirer de l’usage réussi des Gender Bonds et des produits numériques innovants pour les femmes ?