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L’innovation financière en Afrique est freinée par la fragmentation du continent, qui abrite 54 juridictions aux régimes de conformité hétérogènes. Obtenir une licence fintech peut coûter jusqu’à 2 millions $ par pays, et les divergences en matière de KYC, de lutte contre le blanchiment d’argent et de protection des données entravent les services numériques transfrontaliers. Le passeport réglementaire, qui délivre une seule licence valable sur plusieurs marchés, pourrait éliminer ces obstacles et réduire les coûts. Alors qu’un projet pilote entre le Ghana et le Rwanda donne déjà des résultats prometteurs, les pays hors des blocs UEMOA ou CEMAC pourront-ils s’en inspirer ? Comment ce passeport peut-il contribuer à une supervision plus intelligente et coordonnée ?  

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