Programme
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(GMT)Cérémonie d'ouverture
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(GMT)OPENING PANEL | Construire une industrie financière africaine de classe mondiale : Une opportunité à 1 500 milliards de dollars
Les plus grandes institutions financières d’Afrique ont su jusqu’à présent résisté au resserrement monétaire mondial et à l’inflation écrasante qui paralyse les marchés mondiaux. Profitant du départ des principaux acteurs internationaux, ces champions africains ont maintenant une occasion historique d’étendre leur influence régionale. Mais pour ce faire, banques, assureurs et marchés de capitaux du continent doivent surmonter une charge d’intérêt croissante sur la dette publique africaine, une urgence climatique de plus en plus pressante, un resserrement des financements internationaux et des variations réglementaires sur les marchés africains. Comment les gouvernements et les champions continentaux peuvent-ils débloquer ce qui pourrait être une opportunité de 1 500 milliards de dollars pour étendre la pénétration des banques, des assurances et des marchés de capitaux ?
Points de discussion
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Sorties des banques internationales : Comment les institutions financières africaines peuvent-elles saisir les opportunités, maintenir des liens mondiaux et inspirer la confiance internationale ?
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Réglementations panafricaines : Dans quelles mesures l’harmonisation des réglementations financières peut-elle participer à la concrétisation de la ZLECAF ?
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Sécurité alimentaire et transition climatique : Comment attirer les capitaux à long terme africains et internationaux ?
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(GMT)CONVERSATION WITH | Jeremy AWORI, CEO du groupe, Ecobank & Serge Ekué, Président, BOAD
Le groupe Ecobank de Jeremy Awori et la Banque ouest-africaine de développement (BOAD) de Serge Ekué sont des moteurs essentiels de l’économie panafricaine. Ces deux géants de la finance africaine ont enregistré une croissance substantielle de leurs bénéfices nets dans un contexte de retrait des banques internationales, de ralentissement du financement mondial et de volatilité des devises. Alors qu’Ecobank entend devenir la banque de paiement par excellence et que la BOAD, quant à elle, augmente sa capacité de financement pour soutenir le secteur public et privé de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (Plan stratégique Djoliba 2021-2025), les deux leaders discuteront des moyens permettant de faire face à l’instabilité macroéconomique persistante et au resserrement des financements au niveau mondial.
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(GMT)ÉTAT DE L'INDUSTRIE | Baromètre de l'Industrie Financière Africaine 2023
Deloitte et l’ Africa Financial Industry Summit – AFIS dévoilent les résultats du 3ème Baromètre de l’Industrie Financière Africaine. De la perception du secteur sur les progrès de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAF ) à l’introduction des monnaies numériques par les banques centrales (CBDC), en passant par la question de l’intégration des femmes dans les conseils d’administration, ce rapport annuel fournit une analyse globale des modèles économiques, de gouvernance et la réponse face aux réglementations des banques, des assureurs, des fintechs et des acteurs du marché des capitaux sur l’ensemble du continent.
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(GMT)STRATEGIC ROUNDTABLE | Mobile Money : Résister au choc du renchérissement des coûts et saisir les opportunitésSalle NAIRA
Participation en s’inscrivant via l’appli AFIS ou sur invitation. Discussion en anglais.
Augmentation des coûts opérationnels, concurrence des fintechs, taxe directe (e-levy) sur les services. Face à ces pressions, un nombre croissant d’opérateurs de mobile money augmentent leurs tarifs alors même que la baisse du pouvoir d’achat des consommateurs limite leur marge de manœuvre. En Côte d’Ivoire, confrontés à l’ire de leurs clients, Orange et Moov ont dû renoncer à ces hausses en début d’année. Cette table ronde à huis-clos réunira Ministres des finances, opérateurs de mobile money, fintechs, spécialistes de la cybersécurité pour formuler des recommandations sur ces grands enjeux : comment les telco peuvent-ils adapter leur business model face aux pressions des consommateurs ? Quelles pistes de négociation avec les Etats alors que plus de 10 pays Africains envisagent d’instaurer une e-levy ?
Points de discussion
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TVA, droit d’accise, taxes directes sur les paiements : comment élargir l’assiette fiscale sans pénaliser l’inclusion financière des plus vulnérables ?
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Inflation, fiscalité, fintech, rémunération des agents : comment les opérateurs de mobile money doivent-ils faire évoluer leur stratégie prix ?
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Fraude à la commission, hameçonnage, piratage, échange de SIM : quelles solutions face à la recrudescence des arnaques ?
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(GMT)STRATEGIC ROUNDTABLE | Taxonomie verte : L'entrée en jeu de l'Afrique ?Salle DIRHAM #2 Roundtable
Participation en s’inscrivant via l’appli AFIS ou sur invitation. Discussion en anglais.
Lancée en avril 2022, la South African Green Finance Taxonomy est la première et unique taxonomie nationale africaine. Lors de la précédente édition de l’AFIS, de nombreux participants ont souligné la necessité de mettre en place d’autres taxonomies de ce type, adaptées aux contextes africains. Mais avec des dizaines de taxonomies mondiales déjà existantes, les nations africaines devraient-elles développer leurs propres normes nationales si elles risquent de ne pas être reconnues par les fournisseurs étrangers de financement durable? Alors que trés peu entreprises sud-africaines se sont conformés à la taxonomie, surgit un second enjeu : pourquoi les entreprises africaines devraient-elles se donner la peine de s’aligner ? Une table ronde réunissant DFI et entités commerciales discute de la conception d’une taxonomie harmonisée qui pourrait attirer le secteur privé.
Points de discussion
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Taxonomie internationale, nationale ou à l’échelle de l’Afrique : Quelle approche serait à la fois bénéfique pour le développement de l’Afrique et acceptée par les IFD et autres bailleurs de fonds durables ?
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Faire en sorte que les taxonomies comptent : Comment les DFI peuvent-elles s’assurer que l’alignement des taxonomies soit attrayant pour les entreprises africaines ?
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Simplification, contextualisation, accessibilité : Quelles leçons peut-on tirer du manque d’utilisation des financements verts en Afrique du Sud ?
ModérateurEl-Hadj-Moustapha IBRAHIM MALLOUM
Directeur Régional Adjoint Afrique de l'Ouest, PROPARCO -
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(GMT)Conversation With : S.E. Wale EDUN, Ministre des Finances, Ministre coordinateur de l'Economie, République Fédérale du NigériaIntervenant
H.E. Wale EDUN
Ministre des Finances, Ministre coordinateur de l'Economie, République Fédérale du Nigéria -
(GMT)PANEL | Prime de risque : Comment alléger le fardeau de l’Afrique ?
Les gouvernements d’Afrique subsaharienne paient jusqu’à 2,1 % de plus que les autres pour emprunter sur les marchés financiers internationaux, tandis que les projets et les actifs du secteur privé financés par des capitaux internationaux subissent aussi régulièrement une « prime de risque africaine ». L’augmentation des emprunts publics et privés ces quinze dernières années, couplée à la hausse des taux d’intérêt, menacent la viabilité de la dette souveraine et la croissance économique. Selon de récentes études, les bouleversements mondiaux et les idées préconçues sur l’Afrique ont entrainé une prime disproportionnée sur le coût du capital. Comment gouvernements africains et secteur privé peuvent-ils s’assurer que la perception des prêteurs est en phase avec le prix réel du capital ?
Points de discussion
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Prime de risque : traitement inéquitable des agences de notations ou surcoût justifié ?
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Transparence : comment l’accès à des données gouvernementales plus précises et plus exhaustives peut-il réduire la prime de risque de l’Afrique ?
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Prêteurs institutionnels africains : recours salutaire pour atténuer le supplément de risque ?
IntervenantDr. Uzziel NDAGIJIMANA
Ministre des Finances et de la Planification Economique, Republique du Rwanda -
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(GMT)STRATEGIC ROUNDTABLE | Gestion du risque de change : un remède à la crise de la dette africaine ?Salle PULA #1 Roundtable
Participation en s’inscrivant via l’appli AFIS ou sur invitation. Discussion en anglais.
Dollar américain fort, hausses des principaux taux directeurs mondiaux et cours de change défavorables augmentent le service de la dette publique en Afrique, au détriment des secteurs essentiels. Un phénomène amplifié pour nombre de pays dont la dette est majoritairement libellée en devises étrangères. Les instruments de couverture (swaps de devises, contrats de change à terme), conçus pour renforcer la confiance dans les marchés financiers locaux car ils permettent de rembourser la dette en monnaie nationale, restent au demeurant méconnus. Lors de cette table ronde à huis-clos, membres de gouvernements, banques commerciales et IFD émettrices de prêts souverains échangent avec des prestataires de services de couverture sur les stratégies pour réduire le risque de la dette et en améliorer la viabilité.
Points de discussion :
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Quelles sont les causes des risques de change en Afrique et comment survivre à la crise actuelle ?
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Monnaies locales synthétiques et couverture : Comment les États peuvent-ils tirer parti d’outils sous-utilisés pour gérer la dette extérieure ?
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Onshore et offshore : développer les marchés de capitaux grâce aux obligations libellées en monnaie locale
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(GMT)KEYNOTES | Women in Finance : Rebattre les cartes de la finance traditionnelleSalle SHILLING (Tent)
A travers une série d’allocutions, cinq dirigeantes influentes expliquent comment elles repoussent les limites pour remodeler les services financiers sur le continent. Avec 18,1 % des postes de direction occupés par des femmes dans l’industrie financière, l’Afrique peut se targuer d’avoir le chiffre le plus élevé au monde dans le domaine. Nombre d’entre elles bousculant le statu quo dans des domaines tels que les paiements transfrontaliers et l’assurance numérique, et ce contre toute attente.
IntervenantRose Kayi MIVEDOR
Ministre du Commerce, de l’Artisanat et de la Consommation locale, République Togolaise -
(GMT)Side Event African Guarantee Fund -AGF : La garantie de l'AFAWA pour la croissance : Réduire les risques de financement de l'entreprenariat fémininSalle PULA #1 Roundtable
AGF et l’équipe de l’Africa Financial Industry Summit sont honorés d’organiser le Side Event exclusif : « LA GARANTIE DE L’AFAWA POUR LA CROISSANCE : RÉDUIRE LES RISQUES DE FINANCEMENT DE L’ENTREPRENARIAT FEMININ ».
AFAWA, acronyme en anglais pour Affirmative Finance Action for Women in Africa, est une initiative panafricaine qui vise à combler le déficit de financement, estimé à 42 milliards de dollars, qui affecte les femmes entrepreneures en Afrique. L’évènement sera dédié au financement des femmes entrepreneures en Afrique de l’Ouest, et les stratégies de réduction du risque de leurs entreprises.
Cette session privée aura lieu le mercredi 15 novembre (à partir de 14h00) et prendra la forme d’un Panel de discussion bilingue (anglais et français), organisé dans la salle PULA de l’Hôtel du 2 Février. Des décideurs, des experts du secteur financier, des entrepreneurs, partageront leurs connaissances et leurs perspectives au cours d’une conversation stimulante.
IntervenantRose Kayi MIVEDOR
Ministre du Commerce, de l’Artisanat et de la Consommation locale, République Togolaise -
(GMT)PANEL | La tokenisation des actifs : Une opportunité inexploitée de financement et de liquiditéSalle SHILLING (Tent)
Alors que le PIB de l’Afrique était évalué à 2 600 milliards de dollars en 2021, le potentiel financier des ressources du sous-sol africain, estimé à 100 000 milliards de dollars, serait supérieur au PIB mondial actuel de 87,5 milliards de dollars. La tokenisation des actifs naturels, tels que la terre, l’agriculture, le bétail et l’or, présente de nombreuses opportunités pour les institutions financières africaines. Le Nigeria envisage d’autoriser le commerce de tokens, la République centrafricaine projette de tokeniser ses ressources minérales tandis que la Banque Centrale du Zimbabwe envisage de créer une monnaie numérique adossée à l’or. Comment la finance numérique peut-elle aider l’Afrique à exploiter ce potentiel inexploré ? Quel rôle les régulateurs et les institutions financières traditionnelles peuvent-ils jouer pour saisir cette aubaine ?
Points de discussion
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Tokenisation des actifs : l’Afrique peut-elle être leader en matière de finances publiques, de financement des infrastructures et de ressources minérales ?
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Quelles actions entreprendre et quels seront les facteurs de réussite ?
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Réglementation des actifs numériques : tirer parti des meilleures pratiques mondiales et favoriser leur adoption tout en protégeant les investisseurs
IntervenantPaul-Harry AITHNARD
Directeur Général d'Ecobank Côte d'Ivoire & Directeur Régional de l'UEMOA, Ecobank -
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(GMT)STRATEGIC ROUNDTABLE | La Course aux talents : comment séduire les jeunes pousses africaines de la tech?Salle KWANZA #3 Roundtable
Participation en s’inscrivant via l’appli AFIS ou sur invitation. Discussion en anglais.
Les institutions financières africaines sont confrontées à une pénurie de professionnels hautement qualifiés dans le secteur des technologiques au moment où elles effectuent une transition critique vers les outils numériques et des services d’analyses avancées. Selon certaines estimations, 4 millions de nouveaux emplois technologiques seraient nécessaires d’ici 2025, alors que la demande et la concurrence entre les acteurs financiers africains et les acteurs internationaux s’intensifient pour recruter codeurs, analystes de données, développeurs de logiciels ou encore les experts en IA. Au cours de cette table ronde, directeurs des ressources humaines et spécialistes de la technologie discuteront de la manière dont les institutions financières africaines pourraient agir de manière précompétitive pour cultiver un riche vivier de talents capable de soutenir la croissance et la transition numérique du secteur.
Points de discussion
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Recrutement précoce / Formation en interne : comment les institutions financières africaines peuvent-elles capter les meilleurs profils dès leur entrée dans le monde professionnel ?
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Dans quelles mesures secteur financier et éducatif peuvent-ils collaborer pour atteindre l’adéquation formation-emploi ?
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Sous-traitance et externalisation : et si le recours aux fintechs africaines était la solution ?
ModérateurJosiane KWENDA
Directrice pays pour la Côte d'Ivoire, le Bénin, la Guinée et le Togo, IFC -
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(GMT)STRATEGIC ROUNDTABLE | Révolution des paiements en Afrique: comment arriver à une économie d’échelle ?Salle NAIRA
Participation en s’inscrivant via l’appli AFIS ou sur invitation. Discussion en anglais.
Alors qu’environ 90 % des transactions de paiement en Afrique se font encore en espèce, les banques commerciales pourraient accélérer les paiements numériques grâce aux services des opérateurs télécoms. Certaines banques privilégient une intégration verticale en développant leurs capacités de paiement numérique et mobile, soit par des investissements ou des partenariats avec des fintechs, soit par la mise en place de plateformes de paiement internes (comme avec KCB Pepea, Snap Scan de Standard Bank ou l’application mobile GTWorld de GT Bank). Néanmoins, cette expansion des banques en matière de paiement électronique se heurtent aux coûts de mise en place, d’entretien et d’exploitation élevés des infrastructions numériques. Cette table ronde réunissant institutions financières, fintechs et représentants du gouvernement s’interroge sur la manière dont les banques pourraient atteindre une taille critique dans le développement de solutions numérique afin de révolutionner le paysage des paiements en Afrique.
Points de discussion
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Comment concilier capacité d’innovation continue et attractivité des coûts de transaction dans le secteur des paiements ?
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Entre investissements, prise de participation et contrat de sous-traiatance : quelle stratégie de partenariat entre banques et fintechs ?
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Retour sur investissements : Comment dynamiser le secteur des paiements en Afrique ?
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(GMT)STRATEGIC ROUNDTABLE | Attirer la diaspora africaine sur les marchés de capitaux locauxSalle DIRHAM #2 Roundtable
Participation en s’inscrivant via l’appli AFIS ou sur invitation. Discussion en anglais
La diaspora africaine, investisseur important au service la croissance socio-économique, a tranféré plus de 600 milliards de dollars en transferts de fonds vers l’Afrique entre 2010 et 2020, principalement destinés à des besoins sociaux. Cependant, leur participation aux marchés financiers africains reste limitée, en partie à cause de la méfiance quant à l’utilisation des fonds, les coûts importants de transaction et des craintes liées au retour sur investissement. Parmi les pays africains qui ont émis des obligations pour la diaspora, la plupart n’ont pas réussi à susciter l’intérêt ou n’ont connu qu’une seule émission réussie. Une table ronde réunissant des représentants d’institutions financières et de gouvernements étudie les moyens permettant de renforcer la participation de la diaspora aux marchés des obligations d’entreprises et des obligations souveraines en Afrique, afin de capter des capitaux essentiels pour soutenir l’économie réelle.
Point de discussion
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Entre succés contrastés et volontarisme : comment tirer les leçons des obligations de la diaspora émises à ce jour ?
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Une bonne gouvernance, transparence et accompagnement : Comment inspirer la confiance de la diaspora?
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Solutions de paiement, baisse des goûts de transaction et transferts de fonds sécurisés : Comment faciliter, garantir et encourager les investissements de la diaspora ?
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(GMT)PANEL | Autorité bancaire fédérale : L’Afrique est-elle prête ?
Les accords de Bâle I, II et III et l’Union bancaire européenne ont permis d’harmoniser les réglementations prudentielles par l’intermédiaire de l’Autorité bancaire européenne et d’assurer une supervision bancaire cohérente grâce à la Banque centrale européenne, mais il n’existe pas d’organisme de ce type pour l’Afrique. Alors que l’Afrique de l’Est envisage la création d’une commission régionale des services financiers, un tel projet semble à terme peu probable à l’échelle continentale car jugé trop complexe et mal adapté aux systèmes bancaires de certaines régions. Pour les groupes bancaires régionaux ou continentaux, l’asymétrie réglementaire qui en découle explique la mise en œuvre divergente de Bâle III, des règles de lutte contre le blanchiment d’argent (AML) et de connaissance du client (KYC) ainsi qu’à des approches variées en matière de licences d’actifs numériques. Avec seulement 47%% des répondants au Baromètre de l’industrie financière africaine qui se disent satisfaits des efforts d’harmonisation réglementaire, une autorité continentale serait-elle la clé pour maintenir la stabilité financière des systèmes bancaires ?
Points de discussion
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Quelle est la meilleure approche en matière d’harmonisation ? les banques centrales seraient-elles prêtes à travailler avec un organisme supranational ?
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Des normes IFRS à la lutte contre le blanchiment d’argent : où les efforts d’harmonisation doivent-ils porter ?
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Centralisation des données prudentielles : comment accroître transparence, discipline de marché et confiance ?
ModérateurNivanne MORTAGY
Directrice régionale des opérations, Groupe des institutions financières, Afrique, IFC -
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(GMT)HUAWEI at AFIS | Accelerate Intelligent Finance in Africa : Create New Value TogetherSalle NAIRA
Aujourd’hui, les technologies stimulent la transformation numérique de l’industrie financière, rendant l’application et le rôle de la numérisation et de l’intelligence dans l’industrie financière de plus en plus populaires et proéminents. Comment saisir les énormes opportunités apportées par cette transformation, construire une finance intelligente dans tous les scénarios, et rendre l’entreprise agile, intelligente, fiable et ouverte, est devenu une question clé pour la mise à niveau numérique de la finance.
Dans ce contexte et sous le thème « ACCELERATE INTELLIGENT FINANCE IN AFRICA ~ Create New Value TOGETHER », Huawei participera en tant que Diamond Sponsor à AFIS 2023 et organisera le Huawei African Intelligent Finance Summit 2023 le 15 novembre 2023 à partir de 16 heures à l’Hôtel 2 Février, Lomé – Togo. Cet événement exclusif prendra la forme d’un panel de discussion de 2 heures.
HUAWEI réunira des personnalités de premier plan, des KOL, des experts universitaires et des praticiens innovants de l’industrie financière mondiale pour discuter de la manière de tirer parti de la puissance numérique et de faciliter le développement à pas de géant de l’industrie financière africaine.
Nous continuerons à construire une plateforme mondiale ouverte, collaborative et partagée où vous pourrez.. :
– Communiquer avec les leaders d’opinion et les élites du secteur financier et échanger des idées.
– Communiquer avec les grands acteurs de l’industrie financière pour partager votre expérience.
– Communiquer avec des partenaires du secteur financier et rechercher des opportunités commerciales
– Découvrir l’innovation et l’application approfondies des technologies de l’information et de la communication (TIC) dans le secteur financier.
ModérateurEl Mehdi EL JAIR
CTO régional pour les services financiers, Huawei Northern Africa Enterprise -
(GMT)PANEL | Mobiliser les investisseurs institutionnels nationaux : Soutenir le développement et la transition énergétique grâce aux marchés de capitauxSalle SHILLING (Tent)
Les fonds souverains, de pension et d’assurance africains détiennent plus de 1 000 milliards de dollars d’actifs investis dans des obligations d’État et des actifs étrangers. Pourtant, restrictions réglementaires, instabilité monétaire, manque de projets bankables, d’expertise et de liquidités constituent des entraves qui les rendent hésitants à investir dans les marchés de capitaux locaux en manque de profondeur, en atteste le déficit de financement annuel de 107 milliards de dollars pour financer leur développement et la transition énergétique. Comment des initiatives d’envergure telles que le projet de liaison African Exchanges Linkage Project (AELP) qui permet de connecter 7 bourses du continent peuvent-elles faire évoluer les mentalités ?
Points de discussion :
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Opportunité réelle ou excès d’enthousiasme : quel est le potentiel réel de financement des investisseurs locaux ?
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Comment adapter la répartition des risques et les réglementations aux investissements intra-africains ?
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Financement structuré, capital commun et financement mixte : quels mécanismes innovants pour attirer les capitaux locaux ?
IntervenantNathalie LOUAT
Directrice mondiale du financement du commerce et de la chaîne d'approvisionnement, IFC -
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(GMT)STRATEGIC ROUNDTABLE | Recrudescence des risques cyber: Construire une industrie africaine de la cyber-assuranceSalle PULA #1 Roundtable
Participation en s’inscrivant via l’appli AFIS ou sur invitation. Discussion en anglais.
Les entreprises africaines, en particulier les banques commerciales sont devenues les principales cibles de cyber-attaques avec en moyenne 2164 attaques par semaine subies respectivement. Cette flamblée des cyber-attaques crée un nouveau marché pour les assureurs et réassureurs du continent qui développeraient ou étendraient leurs services vers une couverture aux risques cyber. Cependant l’évolution rapide des menaces technologiques et le risque accru de pertes substantielles freinent les ambitions de ces derniers qui préfèrent se concentrer sur des services plus traditionnels. De plus les potentiels clients de cette offre préféreraient investir dans des solutions de cyber-sécurité personalisées plutôt que d’accorder aux assureurs l’accés à leurs outils et licences. Cette table ronde réunissant des assureurs , des insurtechs et des spécialistes de la cybersécurité permettra d’échanger sur la construction d’une industrie africaine de la cyber-assurance en réponse à la prolifération des cybers-attaques
Points de discussion
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Dans quelles mesures la cyber-assurance constituerait un marché à fort potentiel pour les acteurs africains ? Quelle est la pertinence d’une offre locale face à la concurrence étrangère ?
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Comment convaincre les entreprises d’opter pour une cyber-assurance plutôt que d’investir dans une cyber-protection?
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Comment assureurs et réassureurs africains pourraient cultiver une expertise cyber-assurance ?
Invité d'honneurGoodson KAPASO
Manager (Développement du marché - Supervision des pensions), The Pensions and Insurance Authority (PIA) - ZAMBIAInvité d'honneurAlain KANINDA
Directeur Général, Autorité de Régulation et de Contrôle des Assurances (ARCA) -
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(GMT)STRATEGIC ROUNDTABLE | Réforme du système financier international : l’Afrique est-elle enfin en position de force ?Salle KWANZA #3 Roundtable
Participation en s’inscrivant via l’appli AFIS ou sur invitation. Discussion en anglais.
Début septembre 2023 lors du Sommet sur le climat à Nairobi, les chefs d’Etat africains ont proposé une nouvelle architecture financière mondiale visant à débloquer les financements dont l’Afrique a besoin pour lutter contre le changement climatique. Région la plus riche en énergies renouvelables et producteur incontournable des métaux critiques de la transition énergétique, elle est en position de force pour apporter des solutions mondiales à l’urgence climatique. Mais comment baisser le coût d’emprunt du capital (5 à 8 fois supérieur que dans les pays riches) et mobiliser davantage de financement privé, alors que le continent est le moins émetteur de CO2 mais le plus vulnérable ? Cette table ronde à huis-clos réunissant membres de gouvernements, IFD, banques multilatérales de développement et privées examine les mesures prioritaires pour réformer le système de Bretton Wood en faveur de l’Afrique.
Points de discussion
- Marchés carbone, métaux critiques, industrialisation durable : quelles mesures gouvernementales pour libérer le potentiel vert de l’Afrique ?
- Droits de tirage spéciaux, échanges dette contre nature, taxation carbone : comment faire évoluer le FMI et la Banque Mondiale ?
- Finance mixte, garanties, hausse du seuil de tolérance au risque : comment les banques multilatérales peuvent-elles catalyser les capitaux privés ?
Invité d'honneurDr. Uzziel NDAGIJIMANA
Ministre des Finances et de la Planification Economique, Republique du Rwanda -
(GMT)STRATEGIC ROUNDTABLE | Fraude, corruption et flux financiers illicites : renforcer et harmoniser les normesSalle DIRHAM #2 Roundtable
Participation en s’inscrivant via l’appli AFIS ou sur invitation. Discussion en anglais
La Banque africaine de développement et la Coalition pour le dialogue sur l’Afrique (CoDA) ont lancé ,en mars dernier, un projet triennal visant à apporter une réponse coordonnée aux flux financiers illicites (FFI) qui coûtent à l’Afrique prés de 80 milliards de dollars par an. Ces lourdes pertes sont liées à divers facteurs notamment la faiblesse du système réglementaire et la complexité des lois commerciales, tels que des traités bilatéraux, qui permettent aux individus et aux entreprises de manipuler les prix et d’échapper à l’impôt. La lutte contre corruption et le blanchiment d’argent patît, quant à elle, de la faiblesse des cadres réglementaires : ni les systèmes juridiques nationaux, ni le système juridique international ne sont suffisamment dissuasifs pour empêcher de telles pratiques illicites. Cette table ronde qui réunit des représentants des secteurs public et privé explore des approches innovantes pour renforcer les normes.
Points de discussion
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Commerce et échange international: comment passer du bilatéralisme à des normes harmonisées, en particulier dans les secteurs sensibles à la FFI (par exemple, l’extraction et la construction)?
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Criminalité économique : comment renforcer le rôle des cellules de renseignement financier et leur coopération transfrontalière ?
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Face à la corruption, dans quelles mesures les acteurs économiques pourraient-ils consolider les législations actuelles ou assurer une mise en œuvre plus efficace de ces derniéres sur le terrain?
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(GMT)PANEL | Finance et Transition climatique : l’Afrique, future championne des obligations durables ?
Les obligations vertes, sociales et durables (GSS) deviennent un moyen de refinancement incontournable, comme en attestent l’émission de l’obligation objectif de développement durable-ODD du Bénin ou les émissions obligataires vertes de Standard Bank et d’ Access Bank. Malgré leurs sursoucriptions, plusieurs obstacles (problèmes de dette souveraine, manque d’expertise dans l’identification de projets bancables,etc.) entravent l’utilisation de ces instruments et en dépit de la dynamique des investissements dans l’atténuation du changement climatique (par exemple, énergies renouvelables), les GSS émises pour s’adapter au climat (par exemple, cultures résistantes) restent limitées. Comment l’Afrique, avec 0,2 % de parts de marché, peut-elle combler son retard et devenir l’un des premiers émetteurs obligataires GSS au monde ?
Points de discussion
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Obligations GSS souveraines et d’entreprises : quels enseignements tirer des premières émissions ?
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Identification des projets bankables : comment les exigences des investisseurs évoluent-elles?
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Au-delà des énergies renouvelables : comment renforcer le business case des obligations vertes et durables ?
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