Programme
DURABLE, DIGITALE, SANS FRONTIÈRES – TRANSFORMER LA FINANCE À L’ÈRE DES DISRUPTIONS
L’Afrique est à l’avant-garde de l’évolution des services financiers. En parvenant à faire du continent un leader
mondial du mobile money, en démocratisant la finance verte, et même, plus récemment, en devenant pionnier
dans la création et l’utilisation des monnaies numériques de la Banque centrale, les institutions financières africaines ont posé les jalons d’un financement moderne de l’économie.
Cette vaste transformation vers un modèle plus durable, toujours plus digital et décloisonné se produit pourtant dans un contexte de volatilité extrême totalement inédit pour la plupart des dirigeants. Un environnement macroéconomique à haut risque qui menace la solidité financière de l’industrie : baisse de la rentabilité, risque de liquidité, rareté des capitaux disponibles, sans compter les risques climatiques et la cybercriminalité.
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(GMT)Cérémonie d'ouverture
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(GMT)Conversation With | Ade Ayeyemi
Depuis qu’il a pris les rênes d’Ecobank en 2015, Ade Ayeyemi a ramené la banque panafricaine sur le chemin de la stabilité financière, réduit considérablement le taux de créances douteuses et rétabli la rentabilité en 2021. Il a par ailleurs été l’architecte de la diversification et de l’accélération des transactions numériques, notamment via la plateforme de paiements B2B Omni-Plus. Dans ce qui pourrait être l’une de ses dernières interviews en tant que PDG d’Ecobank, puisqu’il passera le relais à la fin de cette année, Ade Ayeyemi livre sa vision de l’avenir du secteur bancaire africain lors d’un entretien avec Ramah Nyang de Bloomberg.
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(GMT)OPENING PANEL | Transformer la finance africaine à l’heure des grandes crises
Alors que l’industrie financière africaine traverse une phase de transformation critique vers toujours plus de numérique, d’intégration et de prise en compte de ses impacts sociaux et environnementaux, elle doit se préparer à l’éventualité de nouveaux chocs externes avec en particulier la perspective d’une récession mondiale. Le conflit en Ukraine a mis à mal les réserves de change et favoriser l’inflation. Les risques de crédit et de liquidité sont élevés tandis que les capitaux disponibles pour combler le déficit de financement du commerce (81 Mds $ pour les PME), s’adapter au changement climatique (30 à 50 Mds de $ nécessaires par an) ou développer les services financiers pourraient vite se tarir. Comment le secteur peut-il se transformer avec succès dans de telles conditions ?
Points clés:
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Recession mondiale : quelles conséquences pour le secteur financier africain ?
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Digitalisation, normes ESG… : quelles transformations attendre à moyen terme ?
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Jusqu’où l’Afrique peut-elle aller en matière d’intégration financière ?
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(GMT)ÉTAT DE L'INDUSTRIE | Baromètre de l'Industrie Financière Africaine 2022
Deloitte Afrique présente les résultats du 2e Baromètre de l’industrie financière africaine, une enquête panafricaine auprès des institutions financières du continent, préparée en collaboration avec l’Africa Financial Industry Summit – AFIS. Le Baromètre dresse un état des lieux du secteur eu égard à l’évolution des business models, du paysage réglementaire, des pressions inflationnistes, des risques émergents ainsi que des progrès en matière d’innovation numérique et de finance durable.
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(GMT)STRATEGIC ROUNDTABLE | Refonder le financement agricole pour lutter contre l'insécurité alimentaire
Participation en s’inscrivant via l’appli AFIS ou sur invitation. Discussion en anglais.
Aujourd’hui, près de 90 % des petits exploitants agricoles d’Afrique n’ont pas accès au crédit alors que les prix des denrées de base s’envolent et que la famine accable la Corne de l’Afrique. Démocratiser l’accès au financement est dès lors vital, qu’il s’agisse de replanter et réhabiliter les exploitations, s’adapter au changement climatique ou accroître la productivité. Or les agriculteurs restent perçus comme un investissement peu rentable car ils cumulent souvent haut-risque et faible rendement, en raison de l’absence d’historique financier et de titre foncier. Cette table ronde, réunissant représentants d’institutions financières et de gouvernements, explorera les solutions envisagées et la manière dont les nouvelles technologies peuvent y contribuer.
Points de discussion :
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Taux d’intérêt et conditions de remboursement : comment concilier flexibilité accrue des offres produits et rentabilité ?
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Développer la technologie financière agricole dans les communautés isolées
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Les éléments manquants pour accroître la couverture d’assurance
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Gouvernements et banques centrales : inciter les institutions financières à prêter
Invité d'honneurNicholas NESBITT
Président du Conseil d'Administration, Autorité des Marchés de Capitaux du Kenya -
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(GMT)PANEL | Mobile money et banques : quand les fintech low-cost sèment le trouble
Les fintechs à bas coût prennent d’assaut le marché africain. Au point de pousser les opérateurs mobiles vers des partenariats bancaires qui diversifient leurs sources de revenus au-delà des frais de transaction. Avec 173 services de mobile money en activité, 621 millions de comptes enregistrés en Afrique en 2021, des licences de monnaie électronique (Sénégal) et des licences de crédit (Kenya) désormais délivrées aux acteurs numériques sans l’intervention des banques traditionnelles, les banques commerciales sentent elles aussi le souffle d’une nouvelle concurrence. Jusqu’à refuser de participer à aider de potentiels compétiteurs à obtenir des licences de crédit ? Banques traditionnelles, opérateurs de mobile money et fintechs peuvent-ils parvenir à s’entendre pour forger des synergies bénéfiques à tous ?
Points clés :
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Interopérabilité : accroître l’appétit pour les produits intercompatibles et les partenariats de licence
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Comment élaborer des principes communs sur la fiabilité des données et le respect des exigences de conformité ?
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Garanties AML-KYC et licences de crédit : que doivent faire les régulateurs pour garantir des conditions de concurrence équitables ?
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(GMT)STRATEGIC ROUNDTABLE | Interconnexion des marchés boursiers africains : saisir les opportunités d’accroissement des ressources financières
Participation en s’inscrivant via l’appli AFIS ou sur invitation. Discussion en anglais.
Déjà en marche dans plusieurs régions du continent, cette évolution pourrait permettre aux secteurs publics et privés d’accéder à des sources de financement étendues. Diversification des portefeuilles, réduction des coûts de transaction et des risques, amélioration de la rentabilité étant quelques-unes des opportunités dont bénéficieraient les investisseurs. Mais comment harmoniser les cadres réglementaires et encourager les investissements transfrontaliers sans nuire aux marchés les moins attractifs ? Quelles innovations technologiques pour optimiser le partage d’informations sur les opportunités d’investissement ?
Points de discussion :
- Politiques des taux de change, libéralisation des comptes de capitaux, systèmes juridiques : comment harmoniser les cadres réglementaires et les rendre propices à l’innovation ?
- Bourse en ligne, portails d’informations, systèmes de trading : faciliter l’accès aux marchés grâce à la technologie
- Quelles mesures spécifiques pour attirer les investisseurs institutionnels et de détail ?
- Privatisations partielles, accompagnement des PME : comment stimuler les introductions en bourse ?
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(GMT)STRATEGIC ROUNDTABLE | Crypto-monnaies : réglementer l'outsider de la finance
Participation en s’inscrivant via l’appli AFIS ou sur invitation. Discussion en anglais.
Bien qu’interdite aux institutions financières de grandes économies telles que le Nigeria, l’utilisation des crypto-monnaies reste massive au sein de la population africaine, les autorités peinant à faire appliquer des réglementations qui comportent souvent des zones d’ombre. Certes encore modeste, le marché des crypto-monnaies africain est l’un des plus dynamiques au monde car les utilisateurs cherchent à sécuriser leurs investissements et à effectuer des transferts d’argent internationaux plus rapides et moins chers. Comment intégrer cet outil populaire dans le système financier africain en limitant les risques de fraude et de spéculation ? Cette table ronde réunissant banques centrales, fintechs et banques privées explore comment développer une approche commune pour réglementer les crypto-monnaies.
Points de discussion :
- Dans quelle mesure les régulateurs doivent-ils autoriser les institutions financières à utiliser les crypto-monnaies ?
- Quels enseignements tirer des économies (États-Unis, Canada, Royaume-Uni) qui ont légalisé le Bitcoin ?
- Comment faire respecter l’interdiction visant les opérateurs sans licence ou leur fournir un cadre pour exercer leurs activités ?
- Développer des environnements de marché plus sûrs et réduire la volatilité
Invité d'honneurCina LAWSON
Ministre de L'Economie Numérique et de la Transformation Digitale, République TogolaiseInvité d'honneurNicholas NESBITT
Président du Conseil d'Administration, Autorité des Marchés de Capitaux du Kenya -
(GMT)PANEL | COP27 : quels enseignements pour les institutions financières africaines ?
Le financement de l’accès à l’énergie est l’un des enjeux clés de la Conférence des Nations unies sur le changement climatique (COP27). Si l’Afrique opérait une transition décarbonée, les énergies renouvelables pourraient représenter plus de 80 % des nouvelles capacités de production d’électricité d’ici 2030. Leur financement créant opportunités d’investissement et concurrence. Dans le même temps, la nécessité de substituer les approvisionnements russes ravive l’intérêt de l’Europe pour le pétrole et le gaz africains, tandis-que l’Union africaine veut mobiliser toutes les ressources énergétiques disponibles pour atteindre l’accès universel à l’électricité d’ici 2030. Quels mix énergétique et politique de financement les institutions financières africaines doivent-elles privilégier pour favoriser au mieux le développement du continent ?
Points clés :
- Quels impacts les engagements de la COP 27 auront-ils sur le financement de l’énergie en Afrique ?
- Quelles mesures réglementaires permettraient aux banques et aux assureurs de donner la priorité aux énergies renouvelables ?
- Quelle est la meilleure approche pour financer la transition énergétique compte tenu de la forte demande européenne et des besoins de développement du continent ?
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(GMT)STRATEGIC ROUNDTABLE | Accélérer l'intégration des paiements : une voie essentielle vers le succès
Participation en s’inscrivant via l’appli AFIS ou sur invitation. Discussion en anglais.
L’inclusion financière, l’accès aux services sociaux et les économies formelles reposent tous sur une infrastructure de paiement moderne permettant des transactions fiables, rapides et faciles. Les paiements mobiles représentent déjà une solide alternative à l’argent liquide dans de nombreux pays africains, et bien que les paiements de gros soient encore en retard, ils s’accélèrent rapidement. Cette table ronde à huis clos réunissant fintechs, banques commerciales et régulateurs traite des modalités de renforcer l’intégration des systèmes de paiement en Afrique et de mieux accompagner les champions africains dans l’environnement des paiements.
Points de discussion :
- Situation actuelle de l’intégration des paiements en Afrique (localement, régionalement) et enseignements tirés
- Réussites hors d’Afrique (modèle SEPA) et en Afrique (systèmes UEMOA)
- Leviers clés au niveau local : réglementation, infrastructure, secteur privé
- Leviers clés au niveau régional et continental : réglementation, infrastructures, secteur privé
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(GMT)STRATEGIC ROUNDTABLE | L'Afrique a-t-elle besoin de Bâle III ?
Participation en s’inscrivant via l’appli AFIS ou sur invitation. Discussion en anglais.
De Bâle I à Bâle III, la mise en œuvre des cadres réglementaires internationaux par les banques africaines a été lente et mitigée, son adéquation aux pays en développement étant par ailleurs critiquée. Seule l’Afrique du Sud (l’unique membre africain du Comité de Bâle sur le contrôle bancaire) a pleinement mis en œuvre Bâle III, et très peu de pays ont l’intention de l’adopter à court terme. Une table ronde à huis-clos réunissant régulateurs et banques commerciales examine dans quelle mesure les normes de Bâle sont adaptées aux nations africaines.
Points de discussion :
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Les régulateurs africains doivent-ils arrêter ou accélérer l’adoption ou la mise en œuvre de Bâle III ?
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Quels sont les principaux défis et critiques de l’adoption ou de la mise en œuvre de Bâle 3 en Afrique ?
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Quelles sont les meilleures pratiques ou alternatives pour des normes de solvabilité et de liquidité plus saines et adaptées à l’Afrique ?
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(GMT)PANEL | Assurance : l’heure de la consolidation et des partenariats a-t-elle enfin sonné ?
Le secteur africain de l’assurance a bien progressé en 2021, avec des primes brutes en hausse de 6,2 % par rapport à l’année précédente. Toutefois, la densité d’assurance demeure insuffisante (>100 USD/habitant/an hors Afrique du Sud et Maroc) et ce malgré un sursaut de la demande tirée par les MPME et les ménages du fait de la pandémie. En cause notamment, une trop grande fragmentation du secteur et un manque de taille critique pour de nombreux acteurs locaux. Quelles cartes restent-ils dans les mains des régulateurs pour favoriser la consolidation ? L’apparition des fintechs et la perspective de partenariats avec les banques (bancassurance) augurent-elles d’une démocratisation des produits assurantiels ?
Points clés :
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Comment la multiplication des partenariats entre assureurs traditionnels et fintechs peut favoriser l’inclusion financière
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Durcissement des exigences en fonds propres : une arme salutaire pour consolider le secteur ?
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Bancassurance : la multiplication des risques (climatiques, agricoles, cyber…) remet-elle en cause la marche en avant ?
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(GMT)PANEL | Financement des MPME : quelles recettes pour combler le déficit ?
La pandémie puis les hausses de taux d’intérêt dues aux tensions inflationnistes n’ont fait qu’amplifier les contraintes de financement pour les dizaines de millions de MPME africaines. Aujourd’hui, 62 % des PME d’Afrique subsaharienne déclarent ne pas avoir accès aux prêts bancaires pour un déficit de financement évalué à 330 milliards de dollars. Pour y remédier, les gouvernements tentent d’innover afin de lutter contre les pratiques d’exclusion bancaires, les taux élevés de défaut de remboursement et l’aversion des MPME envers le système fiscal. Comment favoriser une plus grande culture financière, l’inclusion dans le système fiscal, ainsi que des options de financement novatrices telles que la titrisation, le recours aux marchés des capitaux, l’argent mobile et le financement de la chaîne d’approvisionnement ?
Points clés :
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Comment prêter davantage alors que les risques de défaillance restent élevés ?
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Formalisation : comment inciter les MPME à intégrer le système fiscal ?
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Comment la déréglementation pourrait susciter de nouveaux modèles de financement et favoriser l’inclusion financière
IntervenantAliou MAIGA
Directeur régional pour les institutions financières en Afrique, International Finance Corporation (IFC) -
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(GMT)Conversation With | Nadia Fettah
Première femme Ministre de l’Économie et des Finances du Royaume du Maroc, Nadia Fettah a pris ses fonctions en octobre 2021, après une brillante carrière dans les assurances. Elle hérite d’une économie qui devrait ralentir en 2022 à +0,8% (contre +7,9% en 2021) en raison d’une forte dépendance aux importations d’énergie (90% des besoins). Les politiques de soutien aux investissements directs étrangers, aux PME et fintechs comptent parmi les priorités de l’agenda national. Dans une interview exclusive, Mme Fettah discute des plans du Maroc pour soutenir la croissance économique, les institutions financières de la nation ainsi que leur expansion régionale.
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(GMT)STRATEGIC ROUNDTABLE | COVID-19, inflation : les stratégies des banques centrales face aux difficultés économiques
Participation en s’inscrivant via l’appli AFIS ou sur invitation. Discussion en anglais.
Après les mesures adoptées durant la pandémie de COVID-19, les banques centrales font désormais face à des niveaux d’inflation inédits depuis la crise de 2008 et qui risquent de perdurer. Pour y faire face, ces dernières ont initié des politiques monétaires restrictives en augmentant leurs taux directeurs (+75 Pb en Europe, aux États-Unis et en Afrique du Sud ; +150 Pb au Nigeria ; +50 Pb au Maroc et pour la BEAC et +25 Pb pour la BCEAO). Mais la période critique en cours promet de mettre ces mesures palliatives à rude épreuve. Une table ronde à huis clos réunissant banques centrales et institutions financières examine la meilleure voie à suivre en matière de mesures monétaires et fiscales sur le continent.
Points de discussion :
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Les mesures prises jusqu’ici suffiront-elles à juguler l’inflation ?
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Comment réduire l’inflation sans entraver la croissance ?
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Maintenir l’indépendance dans un contexte de hausse des taux d’intérêt et de surendettement des États.
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Atténuer les effets de la récession mondiale sur l’industrie financière africaine.
Invité d'honneurJean-Claude Kassi BROU
Gouverneur, Banque Centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO)Invité d'honneurDr. Denny KALYALYA
Gouverneur et président du conseil d'administration, THE BANK OF ZAMBIA -
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(GMT)STRATEGIC ROUNDTABLE | Développer l'assurance des consommateurs via des modèles à faible prime et les plateformes numériques
Participation en s’inscrivant via l’appli AFIS ou sur invitation. Discussion en anglais.
Comparés à la moyenne mondiale, le taux de pénétration de l’assurance en Afrique, estimé à 3%, est deux fois plus faible, tandis-que les primes par habitant sont 15 fois moins élevées. Ceci s’explique notamment par l’insuffisance d’accès. Après avoir conquis plus d’un consommateur sur deux dans plusieurs pays d’Afrique de l’Ouest et de l’Est grâce aux portefeuilles numériques et aux transferts P2P, les acteurs du mobile money voient dans l’assurance une nouvelle opportunité de diversification. Cette table ronde examinera comment accroitre son taux de pénétration sur les canaux numériques.
Points de discussion :
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Assurance via les plateformes numériques : quel sous-segment présente le plus grand potentiel ?
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Quels sont les facteurs clés de succès de la distribution via ces canaux ?
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Agent mobile : quels rôles au-delà de la simple collecte d’argent ?
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Comment assureurs et acteurs numériques peuvent-ils mettre au point des partenariats mutuellement bénéfiques ?
Invité d'honneurAlain KANINDA
Directeur Général, Autorité de Régulation et de Contrôle des Assurances (ARCA) -
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(GMT)PANEL WFC | Inclusion financière : triompher des inégalités de genre
A peine 37 % des femmes en Afrique subsaharienne possèdent un compte bancaire. Parallèlement, les créatrices d’entreprise ont reçu en 2021 moins de 1 % des quelque 5 Mds de dollars levés par les startups africaines. Pour remédier à ces inégalités, différentes solutions sont envisagées : promouvoir des réglementations en faveur de la diversité de genre, proposer des formations à l’éducation financière ou encore créer des partenariats avec les marchés financiers informels. Reste que de nombreux obstacles – pauvreté, discrimination, manque de soutien institutionnel – continuent d’alimenter la sous-représentation des femmes dans l’accès à la finance et au capital-risque. Comment rendre les services financiers formels disponibles, accessibles et abordables pour les femmes et les créatrices d’entreprise ?
Points clés :
- Quelles opportunités et innovations potentielles pour accroître l’inclusion financière des femmes en Afrique ?
- Que peuvent faire les fonds de capital-risque et les investisseurs pour combler le fossé de financement entre les sexes ?
- Comment favoriser une meilleure compréhension et une mise en œuvre plus efficace des produits et stratégies inclusifs ?